Transfert d’énergie en Lahochi : comprendre et protéger le praticien
Le Lahochi est une méthode de soin énergétique puissante qui repose sur la transmission d’une énergie universelle à haute fréquence. Une question revient souvent :
le transfert d’énergie est-il réellement possible avec le Lahochi ?
Et surtout, comment le praticien peut-il se préserver lors de ce processus ?
Dans cet article, nous allons explorer en détail ces deux aspects essentiels de la pratique.
Le transfert d’énergie en Lahochi : qu’est-ce que c’est ?
Lors d’une séance de Lahochi, le praticien agit comme un canal d’énergie.
Contrairement à certaines croyances, il ne donne pas sa propre force vitale au receveur.
L’énergie qui circule est une énergie universelle, pure et illimitée, que le praticien canalise à travers ses mains.
Cette énergie est dite “intelligente” :
elle se dirige naturellement vers les zones du corps, de l’esprit ou du cœur qui en ont besoin,
elle agit pour rétablir l’équilibre énergétique, favoriser la détente et soutenir le processus naturel d’auto-guérison,
elle ne peut jamais nuire, car elle est connectée à une fréquence de lumière et de bienveillance.
Ainsi, le transfert d’énergie en Lahochi ne dépend pas de la force personnelle du praticien, mais de sa capacité à se connecter et à laisser circuler cette vibration supérieure.
La protection du praticien en Lahochi
Une autre question essentielle concerne la protection du praticien.
Comment éviter de se fatiguer ou d’absorber les énergies du receveur ?
En réalité, la pratique du Lahochi est conçue pour préserver celui qui donne le soin :
Le praticien n’utilise pas sa propre énergie, il ne peut donc pas s’épuiser.
Il est en connexion directe avec la source universelle, ce qui agit comme une protection naturelle.
Cependant, certaines habitudes renforcent cette sécurité :
✅ Les bonnes pratiques pour se préserver
S’ancrer avant chaque séance : prendre quelques instants pour respirer, visualiser ses racines dans la terre et se centrer.
Poser une intention claire : inviter l’énergie universelle à circuler dans la pureté et la lumière.
Se protéger énergétiquement : visualiser une bulle de lumière, réciter une prière ou un mantra protecteur.
Se nettoyer après la séance : secouer ses mains, boire de l’eau, méditer ou pratiquer un rituel de purification simple.
Grâce à ces gestes, le praticien reste serein, disponible et protégé, tout en profitant lui-même d’un bain d’énergie bienfaisante.
Pourquoi cette distinction est essentielle
Comprendre que le praticien n’offre pas sa propre énergie mais canalise une énergie universelle change tout :
Cela évite les peurs liées à l’épuisement.
Cela montre que le Lahochi est accessible à tous : nul besoin d’avoir une force énergétique particulière pour le pratiquer.
Cela met en lumière le rôle du praticien comme vecteur humble et aligné, et non comme “source” de guérison.
Le transfert d’énergie en Lahochi est une réalité, mais il ne s’agit pas d’un don personnel : c’est la circulation d’une énergie universelle à travers le praticien vers le receveur.
Grâce à cette distinction, le praticien est naturellement protégé et peut renforcer cette sécurité par des gestes simples d’ancrage et de centrage.
En pratiquant le Lahochi, chacun peut ainsi offrir un soin puissant, sécurisant et profondément lumineux.
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